mardi 9 juillet 2013

Hôpital, CIO, … : dernières nouvelles

Avant que les Bellifontains (et les élus) profitent de vacances bien méritées, je tenais à faire le point sur plusieurs dossiers emblématiques.

L'Hôpital : la reconstruction sur place validée

Bonne nouvelle, l’octroi du financement de la reconstruction sur place (27 M sur 52 M €) a été annoncé par l'Agence Régionale de Santé  (ARS). 

Dans la communication de la presse, le Maire de Fontainebleau a menti en dénonçant que l'abandon du projet au Bréau aurait été causé par des recours sur le terrain du Bréau.

Dans une lettre partiellement rendue publique par le Collectif de défense l'Hôpital, le directeur de l'Agence Régionale de Santé  (ARS) souligne les risques du projet :
- financiers : "Les discussions de ces derniers mois  n'ont pas permis de lever les doutes sur la résilience de ce montage. Ce risque obèrerait sans doute la capacité de levée de fonds auprès des institutions bancaires".
- juridiques : "le montage juridique [du partenariat avec la polyclinique] ne m'apparait pas suffisamment sécurisé"
- médicaux  : "Le projet médical de la plateforme me parait aussi insuffisamment abouti".

Il n'y a pas un seul mot sur un problème foncier ou un recours qui aurait bloqué l'opération. L'ARS n'aurait pas hésité à en faire état : le projet de M. Valletoux est vaincu par ses propres défauts et non par l'action juridique de tiers. 

Mieux encore ce sont ceux qui critiquaient le projet et qui ont fait les recours ainsi dénoncés qui voient leur patience récompensée par un bien meilleur projet que celui du Bréau (Partenariat Public-Privé pouvant déraper, risque de bétonnage de l'ancien site …).

Nous avons depuis longtemps dénoncé la méthode du Maire qui consiste à renvoyer sur les autres ses propres fautes. Celui-ci devrait plutôt assurer une meilleure concertation avec les praticiens, les élus, le Collectif de Défense de l'Hôpital et les usagers, pour tenter de rattraper un retard de 8 ans par sa faute.

Malgré ce très net progrès, j'estime que le projet sur site, plus raisonnable, moins coûteux et plus proche du public, reste encore insatisfaisant en ne répondant qu'insuffisamment aux besoins de la population qui risque d'augmenter dans le sud Seine-et-Marne et surtout qui nécessite une chirurgie renforcée pour conserver une dynamique.
On ne peut que s'inquiéter que sur le retour à un hôpital croupion retapé a minima et non de plein exercice comme les usagers en ont besoin, le tout dans un territoire dévasté par la concurrence entre les hôpitaux publics ayant pour arbitre le secteur privé.

Nous ferons comme nous l'avons annoncé tout notre possible pour atteindre cet objectif d'intérêt général.


Le projet de reconstruction, publié dans la presse 
(A un détail près : le plateau technique n'est pas un nouveau bâtiment)



Le CIO : transfert entre Fontainebleau et Avon

Cliquez pour mieux voir : 


Autre (relative) sortie de crise, le Centre d'Information et d'Orientation (CIO), dont nous sommes les plus farouches partisans, sera relogé à Avon, à la limite avec Fontainebleau-Est.
Ce relogement en catastrophe nous laisse un goût amer, car nous aurions préféré une situation à Fontainebleau centre.
Le Maire de Fontainebleau a créé cette situation ubuesque en voulant se débarrasser d'un service éminemment utile au risque de le perdre à tout jamais. Sa méthode de défausse a été de mettre en cause le Conseil Général qui était le preneur du bail dans le bâtiment de la Bibliothèque : personne n'en est dupe.

Ce relogement dans l'agglomération nous laisse cependant la chance de conserver le service à proximité, pour qu'un jour la future majorité puisse le reprendre et le remettre à proximité des lycées et collèges bellifontains. Là d'où il n'aurait jamais dû être exilé, au service de tous.

Question écrite n° 8 du 9 juillet 2013 : Chapelle de la Bonne Dame





Conseil municipal du 8 juillet 2013 : Coût de transfert à l'intercommunalité

SUR UN TRANSFERT MAL EVALUE DE PROJETS DOUTEUX

Encore une fois, on transfert des équipements et services sans cohérence, sans disposer d'une politique publique en la matière.

La Communauté de communes est devenue une caisse destinée à faire payer les projets que les communes ne veulent pas assumer. Bien sûr, c'est un raisonnement à courte vue puisque tout le monde va transférer ces pertes, qui seront payées par le contribuable in fine.

L'exemple le plus flagrant est celui du stade, que la majorité actuelle a été incapable de faire restaurer, ce qui fait que nos enfants doivent se changer depuis plus de 8 ans dans des conditions inacceptables. Et non, ce n'est pas la faute de la communauté, c'est la faute de la majorité qui ne prend pas ses responsabilités.

Je ne parlerai pas du problème du Grand Parquet, véritable gouffre à finances qui nous coûte 510.000 € par an et dont l'on s'interroge, en plus, sur la pérennité financière.

Cela devient pathologique d'une communauté malade et vous me permettrez de vous en donner la démonstration.

Sans rentrer dans les détails techniques des coûts de transfert d'équipements et de services, je voudrai souligner certaines incohérences notamment sur l'amortissement réel de ces équipements et du coût de renouvellement qui n'est pas intégré.

Je note que pour le stade, sinon en général, page 4 du rapport du 24 mai 2013, la CLECT a choisi de ne pas tenir compte du coût de renouvellement du stade mais plutôt de prendre en considération l'investissement sur 15 ans.

On nous dit dans le rapport KPMG que la philosophie de la Communauté de communes est que l'on facture le passé et que l'on partage l'avenir.
D'accord, mais à la condition expresse que l'équipement ne fasse pas l'objet d'un renouvellement en cours ou tout simplement programmé par une mairie : parce que cette décision relève bien du passé et qu'elle doit donc être payée par la commune.
Dans ce cas, dès lors que l'on connait le coût de l'équipement ou que l'on peut l'évaluer, si son renouvellement est inéluctable, c'est ce prix qui doit être retenu.
La méthode retenue pourtant par la majorité va donc minorer le prix que la commune va payer pour la mettre à la charge de la communauté. Est-ce que le contribuable bellifontain y gagne ? Ce serait le cas si le projet était ramené à de justes proportions et que l'on respecte la vérité. Parce que si nous le faisons, les autres vont le faire aussi.

J'ajoute qu'il en est de même pour le tennis transféré par Bourron-Marlotte, qui ne présente que fictivement un caractère communautaire : on nous dit qu'il ne faut pas retenir son coût de renouvellement et que l'équipement n'a pas fait de travaux depuis 15 ans. Donc Bourron transfert et ne paye rien.
Etonnant, car selon certains témoignages précis, le Président de la Communauté de communes aurait promis que ce tennis serait totalement refait et peut-être même couvert. Une telle promesse aurait dû alors entrainer que l'on prenne en compte ce coût de renouvellement. La Communauté de communes paiera, autrement dit, le contribuable bellifontain.

Cette méthode douteuse permet aux communes de faire des transferts de travaux en sous évaluant leurs coûts et en mettant à la charge de la communauté la différence avec le prix réel.

Tout cela démontre, tant un manque de sérieux dans les choix politiques et les priorités, qu'une méthode de dissimulation inadmissible : défavorables à ces transferts et à ses quasi-trucages comptables, je reste cohérente en étant défavorable à ces rapports. 

Conseil municipal du 8 juillet 2013 : Gestion de la salle des Elections

UNE GESTION PEU TRANSPARENTE DE LA SALLE DES ELECTIONS

Cette délibération n'appelle pas de ma part d'autre question que les règles d'affectation. Je désirerai savoir si le choix des bénéficiaires des salles est dicté par l'opportunité, sinon l'arbitraire, ou si le Maire fait son choix pour des raisons rationnelles, tant pour les refus que pour la gratuité. 

Plusieurs associations locales se sont plaintes de ne pas pouvoir accéder à ces salles, notamment en raison de l'avis d'une commission. Il n'y a pas à ma connaissance de commission compétente en la matière.

La délibération actuelle donne un blanc seing au Maire pour signer ou refuser de signer ces conventions. 
Dans l'absolu, je comprends que le Conseil ne peut se réunir tout le temps, mais je propose au Conseil municipal de prévoir que l'affectation ou le refus d'affectation de ses salles et l'accord sur la gratuité fassent l'objet d'une information des Conseillers municipaux. Les refus devront faire l'objet d'une décision motivée du Maire.

Conseil municipal du 8 juillet : ARCIF comité de jumelage

LA MAJORITE IMPOSE UNE TUTELLE INACCEPTABLE

Cette modification statutaire vise à assurer la tutelle de la ville sur l'ARCIF. L'ARCIF, jusqu'à présent, tout en se coordonnant avec la Ville, disposait d'un caractère autonome. Le fait que la Loi donne compétence à la Ville pour créer un jumelage ne justifie pas l'atteinte à la liberté d'association.

J'ajoute que contrairement à ce qui a été indiqué cette modification ne fait pas l'unanimité car elle a entraîné la démission de la moitié du Conseil d'administration. Je passe donc sur l'épisode lamentable et les pressions reçues par les membres, dont je possède, désolée de le dire, non seulement la relation, mais encore les courriels échangés par la Ville et qui bien sûr, ont fait l'objet d'un refus de communication de la part de la majorité actuelle.

La méthode choisit me paraît donc inacceptable et contraire à l'intérêt bien compris des membres : j'avais suggéré de recourir à une convention cadre plus souple, permettant une transparence des rapports plutôt qu'une main-mise. Ma proposition n'a pas été écoutée, chacun prendra ses responsabilités.

Je voterai donc contre.

Conseil municipal du 8 juillet 2013 : Magenta et Projet d'hôtel Campanile

UN BLANC SEING POUR UNE ESTHETIQUE TRES
DISCUTABLE ?

Le projet de Campanile (vue du Bd Magenta) ->

Sur la vente à la Société Coréal

Premier constat sur ce dossier, la vente n'a pas encore eu lieu. Je note que ce n'est pas la société Picard qui sera le propriétaire mais la Société Coréal qui lui louerait ensuite les locaux.

Si je suis favorable à cette implantation sur notre commune, je suis toujours opposée aux blancs seings.

J'avais proposé très constructivement, dans une motion, de mettre en place des garanties :

1°) - sur le prix, puisque la majorité a fait un cadeau à l'acheteur en réduisant le prix, eh bien, si jamais Picard partait dans les 5 ans ou finalement ne venait pas, l'acheteur, c’est-à-dire Coréal, devrait donner la différence par rapport à l’estimation des domaines : voyez, que si l'on encourage l'emploi, on ne favorise pas la spéculation avec l'argent du contribuable ;

2°) - sur l'urbanisme, en faisant approuver le permis par le Conseil municipal, après l’avoir étudié dans ses détails et évidemment en concertation pour désamorcer les recours des riverains.
[Note : ce raisonnement est également valable pour le Campanile !]

La majorité actuelle n'a pas cru bon suivre des propositions de bon sens. Je le regrette.

Sur le projet de Campanile

Donc, maintenant la ville, en sa qualité de propriétaire, veut modifier le cahier des charges du lotissement. Les modalités et les règles sont très bien expliquées.

En revanche, la motivation est absente dans les documents. Nous constatons une gène visible des membres de la majorité lors des commissions : on nous dit qu'il faut le faire, mais on ne nous dit pas pourquoi.

- Pourquoi est-ce la Ville qui le fait puisqu'elle n'en a plus l'utilité et puisqu'elle vend le terrain ?
C'est au futur propriétaire de le faire en son temps.

- Est-ce alors pour un motif relatif à la légalité du permis Coréal ?
On ne sait pas.

- Est ce pour faciliter le projet du Campanile, dont on nous dit que l'esthétique est discutable ? 
On aimerait bien avoir plus de transparence.

Ce manque de réponse à des questions normales et qui d'ailleurs, ne sont pas particulièrement polémiques, nous laisseraient croire qu'il y aurait anguille sous roche.

N’ayant pas de motif de voter pour, je voterai contre.


Note : je pose la question à mes lecteurs, comment peut-on autoriser cela en face du Château ?
La majorité veut-t-elle vraiment faire réussir ce projet d'hôtel ou détruire l'esthétique de la Ville ?


7 juillet 2013 : Hommage à Georges Mandel

Comme chaque année, je me suis rendue à l'Hommage à Georges Mandel (sa biographie), assassiné en forêt de Fontainebleau par la barbarie nazie le 7 juillet 1944. 
Cette cérémonie, auprès du monument à sa mémoire réalisé par le sculpteur François Cogné, a été très émouvante, en présence d'autorités comme Mme le Député. Je souhaiterais que plus de Bellifontains la connaisse. 
Je reproduis ici le remarquable discours de M. le Pr. Daubard.



Hommage à Georges Mandel
Par M. le Pr. Eric Daubard, 
Président du Comité local de Fontainebleau – Avon du Souvenir Français

 En effet, comme feu Jean-Pierre Aunier l'avait souhaité, dès la formation de notre bureau, nous luttons pour que ce grand serviteur de la République, que fut Georges Mandel, ne sombre pas dans l'oubli. 

Louis Georges Rothschild, n'ayant aucun lien de parenté avec les célèbres banquiers, naquit le 5 juin 1885 à Chatou. Sa famille, de confession juive, avait fui l'Alsace en 1871, pour rester française. Très jeune, il s'intéressa à l'histoire et la politique. Sa scolarité s'acheva par l'obtention du baccalauréat. 

Il se tourna alors vers le journalisme et se fit remarquer par ses articles anticléricaux, écrits sous le nom de plume de Mandel, qui était le nom de jeune fille de sa mère. Il fut bientôt admis au sein de la rédaction du journal l'Aurore, collaborant ainsi avec Clemenceau. Les relations entre les deux hommes ne furent pas des plus sereines. Clemenceau qui ne le ménageait pas, lui dit un jour : « Mandel, vous ne saurez jamais écrire. Contentez-vous d'un sujet, d'un verbe et d'un complément direct. Quand vous aurez besoin d'un complément indirect, venez me voir... » 

Puis l'aventure politique débuta en 1906, par un poste subalterne au ministère de l'Intérieur. Contrairement aux propos de Clemenceau, il sut se montrer indispensable et gravit les échelons. En 1919, il fut lui-même élu. Précurseur, il présenta en 1932 un projet de loi visant à faire que les femmes puissent être électrices, mais aussi éligibles. Il devint ministre des Postes en 1934. Très vite, il sentit très vite les dangers liés à l'accession au pouvoir, le 30 janvier 1933, d'un certain Adolf Hitler. 

En 1938, il protesta contre les accords de Munich, alors qu'il était ministre des Colonies. Ministre de l'Intérieur sous la présidence de Paul Reynaud, en 1940, il fut de ceux qui envisagèrent le fameux « réduit breton », puis le repli en Afrique du Nord. 

Arrêté le 17 juin 1940 sur l'ordre du maréchal Pétain, il fut bientôt libéré et exigea une lettre d'excuses. La première mouture ne lui convenant pas, il n'hésita pas à la dicter lui-même, mais jugez plutôt « Monsieur le Ministre, Sous la dénonciation faite au Bureau central de Renseignements aux termes de laquelle un dépôt d'armes aurait été constitué en vue d'une opération dirigée contre le gouvernement à l'instigation de M Mandel et du général Biihrer, j'ai fait procéder à l'arrestation de ces messieurs. J'ai acquis la conviction que cette démarche ne reposait sur aucun fondement et avait le caractère d'une manœuvre ou d'une provocation au désordre. Je m'en excuse et souhaite vivement que cette malheureuse affaire n'ait pas de suite. Signé Philippe Pétain ». 

Ayant refusé de rejoindre Londres, où il envoya un jeune général de brigade à titre temporaire, Charles de Gaulle, il partit avec d'autres parlementaires à bord du Massilia pour l'Afrique du Nord. Il fut arrêté le 8 août au Maroc. 

Condamné à la prison à vie avec Paul Reynaud, Edouard Daladier et le général Gamelin, il fut emprisonné au fort du Portalet, le 7 novembre 1941. Lorsque le maréchal Pétain y fut lui-même incarcéré quelques années plus tard, il dit : « Si j'avais su que c'était ça, je n'y aurais pas fait enfermer mes ennemis ». En novembre 1942, il fut transféré au camp de concentration d' Oranienburg, dans la banlieue de Berlin, puis à Buchenwald. Il revint en France sur décision des nazis et fut enfermé à la Santé. 

Le 7 juillet 1944, il quitta, sans illusion sur son sort, la prison de la Santé vers 17 h 40. Destination annoncée : le château de Brosses, près de Vichy, centre d'internement de la Milice. Dans la traction, il lut aux miliciens la fameuse lettre d'excuse qu'il avait dictée au maréchal Pétain et qui ne le quittait jamais. Il leur dit alors : « Je vous ferai voir comment un Français sait mourir ». Ici même, les trois voitures stoppèrent, sous prétexte d'un problème mécanique. Mandel fut invité à descendre et autorisé à faire quelques pas. Puis éclatèrent des coups de feu, qui l'atteignirent dans le dos. Touché, mais pas mort, il fut achevé de deux balles à bout portant. Il était un peu plus de 19 heures. Neuf balles en tout étaient allées se loger dans son corps. Une rafale fut tirée sur la voiture pour faire croire à un attentat terroriste. Georges Mandel repose désormais au cimetière de Passy. 


Ce monument fut érigé, puis Mandel sombra peu à peu dans l'oubli. Il nous paraît donc important de le faire connaître au moins aux habitants du Pays de Fontainebleau. 

En conclusion, je tiens à saluer la fidèle présence du groupe de commandement de l'armée allemande en France dont la fidèle présence nous touche. Merci, aussi aux personnalités qui année après année soutiennent notre travail de mémoire, mais aussi aux porte-drapeau et à chacun d'entre vous, qui pour la septième année consécutive, quel que soit le temps, honorez de votre présence cette émouvante cérémonie. Permettez-moi également d'exprimer les remerciements de notre comité à la ville pour le nettoyage du site, et au professionnalisme de M. Lutan rendant le déroulement de la cérémonie plus facile. 

mercredi 3 juillet 2013

Communiqué de presse : Monique Fournier : "Pour les municipales, Richard Duvauchelle a toute sa place".




Communiqué de presse


Fontainebleau, le 20 juin 2013


Monique Fournier : "Pour les municipales, Richard Duvauchelle a toute sa place".

Monique Fournier, qui connait bien Richard Duvauchelle, souligne ses qualités de diplomatie et sa compétence sur des questions fondamentales, comme le Tourisme et la vision internationale de Fontainebleau. Elle souligne encore, qu'il s'agit d'un homme neuf, n'ayant pas échoué aux élections comme tête de liste et disposant d'une grande expérience de la vie municipale.
La candidature de M. Duvauchelle à l'investiture UMP permet d'élargir le choix à un homme avec qui, Monique Fournier partage des valeurs communes.

Monique Fournier s'engage clairement pour que la personne qui sera tête de liste dispose de trois points d'appuis fondamentaux :
  -  un programme précis au service du public et non des élus, dont les électeurs savent qu'elle en a déjà proposé les grandes lignes au cours de son mandat. Elle proposera de s'occuper en priorité, des services publics de base, de la voirie et du patrimoine  et aussi de favoriser le développement de l'universitaire et de l'accueil touristique et culturel.
  -  une équipe, avec des personnes de compétences reconnues et écartant les carriéristes et les affairistes.
  -  une méthode, faisant appel largement à l'avis du public et notamment au référendum sur les questions engageant l'avenir de Fontainebleau et ses finances : Richard Duvauchelle a d'ailleurs souligné qu'il fallait trancher avec les méthodes de la majorité actuelle, qui ont visiblement échouées sur des sujets allant du Cinéma à la Halle en passant par l'urbanisme.


Monique Fournier, quelle que soit la décision de l'avenir, se déclare prête en tout cas à servir Fontainebleau, avec l'aide de Richard Duvauchelle.